Mon sextoy et moi (4/5) « Non seulement, ça ne m’a pas donné de plaisir mais en plus ça m’a fait mal »

Aucune pratique ne peut être adaptée à toutes les femmes, et certaines sernt déçues.

Aucune pratique ne peut être adaptée à toutes les femmes, et certaines sernt déçues. OLIVIA FRÉMINEAU POUR « LE NOUVEL OBS »

Témoignage  Pour Myrtille, designer digitale de 34 ans, la promesse de jouissance faite par la marque de son sextoy n’a pas été respectée. Elle en est même arrivée à se poser des questions sur son corps qui ne lui posait pas de problème avant.

« Je ne sais plus comment j’ai eu l’idée d’acheter un Womanizer. Je crois que c’était une suggestion de mon mec. A l’époque, on vivait à l’étranger, je ne bossais pas et on avait plein de nouveaux potes. Les nanas de cette bande baignaient toutes dans des trips un peu new age autour de la découverte du corps et du “féminin sacré”. C’est comme ça que j’ai commencé à m’intéresser à ma relation à mon propre corps. J’ai acheté le livre “Jouissance club” de Jüne Plã et donc un Womanizer. Je l’ai commandé en ligne, sur un site français, parce qu’il n’y avait pas de boutique dans le pays où j’habitais.

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En découvrant la gamme des produits, j’ai halluciné. J’étais en mode : “C’est tout un univers en fait !” Il y a le modèle voyage ou “pocket”, qui est tout petit et qu’on peut emporter partout, le classique qui a plus d’options, ceux qui font gode, ceux aussi qu’on peut utiliser à deux. J’ai quasiment fait un benchmark des produits avant d’opter finalement pour un modèle classique.

Quand le colis est arrivé et que j’ai déballé l’objet, je l’ai tr…

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